C’est à une cinquantaine de millions d’euros en 2010, puis à environ 35 à 40 millions d’euros par an au cours des deux années qui suivent, qu’est estimé le coût des dispositifs prévus par la mission Zelnik ( Création et abondement d’une carte « Musique en ligne », Campagne de communication, Renforcement du crédit d’impôt disque, Abondement de l’IFCIC, Abondement du CNL)
(…)
Philippe Aigrain, co-fondateur de La Quadrature du Net explique ainsi qu’en « refusant de prendre en compte les preuves qui s’accumulent montrant que le partage de fichiers n’est pour rien dans la crise des industries culturelles et peut contribuer de façon majeure à la diversité culturelle, le gouvernement s’enfermerait dans un dogmatisme coûteux. Il poursuivrait ainsi 5 ans de refus du débat sur des propositions constructives comme la contribution créative. En plus de la guerre engagée contre le public par les lois HADOPI, le gouvernement s’apprête à mettre de l’argent public au profit de quelques intérêts privés cramponnés à une vision passéiste de l’économie culturelle »
http://www.universfreebox.com/article10073.html