La reconnaissance faciale s’implante dans les écoles du monde entier. En Chine, aux États-Unis et bientôt en France, le dispositif est présent pour protéger les élèves mais aussi pour surveiller leur assiduité d’après les pouvoirs publics. […]
La loi sur la reconnaissance faciale reste floue en France et une fois notre accord donné, notre visage est répertorié ce qui fait qu’on pourrait être « reconnu et surveillé constamment dans l’espace public, sans pouvoir [s’y] opposer, contrairement au principe du libre consentement du Règlement général sur la protection des données (RGPD) » explique Martin Drago, avocat spécialisé dans le droit des données personnelles au média en ligne Cnet. Il est donc urgent de légiférer avant de procéder au déploiement de ces technologies sur la France entière.
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