Coupé pour tenter de contrecarrer la mobilisation anti-Moubarak, internet reste inaccessible en Egypte mais des solutions s’improvisent depuis l’étranger, où de petits fournisseurs d’accès et des groupes d’activistes mettent à disposition leurs réseaux bas débit.
« Mais la nouveauté, c’est que comme le réseau RTC est toujours accessible, il suffit d’un bon vieux modem bas débit -ceux qu’on utilisait avant l’ADSL-, un numéro de téléphone à l’étranger et un mot de passe pour qu’un internaute égyptien puisse se connecter« , explique M. Zimmermann.
Pour Benjamin Bayart, « on ne se permettrait pas d’avoir une opinion politique sur ce qui est bon ou pas bon pour l’Egypte, par contre les gens ont le droit à une liberté fondamentale qui est la liberté d’expression, et internet sert à cela. On répare donc comme on peut« .
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gcV5bl7fGucM4fNCk8gnJDKw8AvA?docId=CNG.0b9117238ec3053f2d72defa500c2270.251